Il faut réussir, être le ou la meilleur·e… Vraiment ? Plutôt que d’avancer les un·e·s contre les autres (ou contre soi-même), pourquoi ne pas avancer les un·e·s avec les autres ?
Nous le rencontrons tout au long de notre vie, à commencer dans notre parcours scolaire. J’ai souvent constaté qu’a cette période de construction, l’échec a un impact très fort sur l’image que l’on a de soi. il est difficile, lorsqu’on est jeune, de ne pas abandonner après un échec, d’y trouver de quoi se renforcer et recommencer. pourtant entreprendre, oser, inventer, créer sont possibles à la condition de ne pas en craindre l’issue… Et d’apprendre à tomber. Je voudrais, avec ce spectacle, raconter une histoire qui nous réconcilie avec nos échecs, qui nous fasse les regarder avec tendresse et intérêt pour apprendre à les aimer et a les vivre comme des instruments de progression. Jonathan Salmon